Medias
Estuaire, No 175
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Qu’on le veuille ou non, l’Internet est fait de nous qui l’avons créé, nourri, parasité, cassé, réanimé. Il nous angoisse quand il nous faut passer la tête dedans, parce qu’on en ressort difficilement. Ça coince. En fait, on n’en sort pas du tout, et les auteures et auteurs que nous sommes doivent composer avec cette réalité, jusqu’à nous en faire un matériau d’écriture, jusqu’à l’intégrer à notre tissu langagier, comme c’est le cas dans les suites de poèmes de ce numéro.
On
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